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Sophrologie

La sophrologie est une méthode psychocorporelle utilisée comme technique thérapeutique ou vécue comme une philosophie de vie. Elle a été conçue par le neuropsychiatre Alfonso Caycedo qui s’est inspiré de techniques occidentales, comme orientales.
La sophrologie emploie un ensemble de techniques qui vont à la fois agir sur le corps et sur le mental. Elle combine des exercices qui travaillent à la fois sur la respiration, la décontraction musculaire et l’imagerie mentale (ou visualisation).
La sophrologie permet d’acquérir une meilleure connaissance de soi et d’affronter les défis du quotidien avec sérénité. 

Pratiquer la sophrologie

La sophrologie peut être pratiquée à tout moment et quel que soit le lieu. Elle nécessite cependant un entraînement, le plus souvent réalisé grâce à l’accompagnement d’un sophrologue, afin d’acquérir une parfaite autonomie. Les séances de sophrologie peuvent ainsi se dérouler dans le cadre de cours collectifs ou d’un suivi individuel.
La sophrologie se pratique en tenue de ville ou décontractée, confortable dans tous les cas. Certains exercices se déroulent en position assise ou couchée, d’autres debout dans un environnement agréable, sans conditions particulières.
On peut pratiquer la sophrologie à tout âge, que l’on soit sportif ou pas, de sexe masculin ou féminin.

Le déroulé des séances

Qu’elles soient individuelles ou collectives, les séances de sophrologie se déroulent de la même façon. Elles sont découpées en trois temps et débutent toujours par un temps d’accueil et d’échange avec le sophrologue. Cette étape permet d’exprimer ses besoins, ses envies, mais également de faire connaître au sophrologue son état général qu’il soit physique ou émotionnel.
Cet échange est suivi par l’enchaînement d’exercices de sophrologie, à savoir les relaxations dynamiques (stimulations corporelles associées à la respiration), ainsi que les sophronisations (visualisations d’images positives guidées par la voix du sophrologue).
Enfin, la séance se termine à nouveau sur un temps d’échange qui permet cette fois d’exprimer au sophrologue les ressentis vécus au cours de la séance.

Gestion du quotidien

La sophrologie propose un ensemble de techniques qui permettent de mieux gérer son stress et son anxiété au quotidien. Plus généralement, elle est d’une aide précieuse pour apprendre à gérer ses émotions et éviter qu’elles ne deviennent trop envahissantes.
La méthode est aussi d’une grande utilité pour améliorer la qualité du sommeil. Elle favorise la récupération, améliore le niveau de bien-être et de vitalité en luttant contre les troubles du sommeil (difficultés d’endormissement, réveils nocturnes, insomnies).

Préparation à un événement

Examens, mariage, prise de parole en public…ces moments importants de la vie nécessitent souvent de la préparation. La sophrologie et l’ensemble de ses techniques vont être utilisés pour apprendre à gérer l’appréhension, mobiliser ses aptitudes et prendre conscience de ses capacités à vivre ces événements de la meilleure des façons.

Accompagnement des phobies

La sophrologie intervient également dans ce domaine, bien qu’elle ne soigne pas les phobies. Elle va surtout permettre de mieux les gérer.

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EMDR

C’est quoi l`EMDR ?

EMDR signifie en anglais Eye Movement Desensitization and Reprocessing, soit la désensibilisation et le retraitement de l’information par les mouvements oculaires.
C’est une psychothérapie créée en 1987, par la psychologue et thérapeute comportementale américaine, Francine Shapiro.
Cette psychothérapie est reconnue comme un traitement de choix pour le trouble de stress post-traumatique (TSPT) et de nombreuses études ont déjà démontré son efficacité.
Elle est aujourd’hui recommandée par des instances telles que la Haute Autorité de Santé, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) ou encore l’Institut national de la santé et de la recherche médicale(INSERM), dans le cadre de la prise en charge d’un stress post-traumatique.

Elle est maintenant également utilisée pour de nombreux autres troubles : anxiété, douleurs chroniques, phobies, dépression, histoires de vie traumatiques…
Il n’y a pas de contre-indications en EMDR, mais des précautions à prendre ou des aménagements à mettre en place en fonction des spécificités des patients.

Comment se déroule une séance d`EMDR ?
L’EMDR repose sur le modèle du “processus de traitement adaptatif de l’information” (TAI). Cette thérapie part du principe que chaque pathologie, symptôme ou problématique, est générée par des événements perturbants ou vécus comme traumatiques par le passé : des événements qui n’auraient pas été “digérés” ou qui n’auraient pas été traités correctement et qui ont encore un impact sur le comportement dans le présent. Il s’agit d’une thérapie en 8 phases, dont la durée et le déroulé va varier d’un patient à l’autre. Cette thérapie a des effets simultanés sur le corps, le mental et les émotions. Elle ne se réduit pas à la procédure des stimulations bilatérales alternées (notamment les fameux “Mouvements Oculaires”). Les séances durent entre 60 et 90 minutes et ont un format variable.

Les premières séances comprennent, les deux premières phases de la thérapie : la personne raconte son histoire, parle de sa problématique. Elles permettent ainsi de poser le cadre, d’installer une “alliance thérapeutique”, de définir la demande du patient et d’établir le plan de traitement.
Ensuite, on retraite une situation problématique en suivant une procédure précise, qui inclut les mouvements oculaires ou des stimulations bilatérales auditives et tactiles.

Les bienfaits de cette thérapie :
Dès les premières séances, le patient peut ressentir les bienfaits de cette méthode. Des études ont déjà démontré la diminution, voire la disparition des symptômes liés au stress post-traumatique, une meilleure capacité à parler de l’événement comme d’un souvenir déchargé d’affect, la fin des comportements qui ont générés la demande de thérapie , un gain sur la qualité de vie…
Le nombre de séances nécessaires dépend de la problématique abordée. Par exemple, dans le cas d’un trouble de stress post-traumatique suite à un accident de voiture, quelques séances peuvent suffire. 

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Coaching de Vie

Nous poursuivons tous des objectifs qui diffèrent en fonction de nos attentes et de nos valeurs. La question essentielle, une fois ces objectifs fixés, c’est « quel est le chemin à suivre pour les atteindre ? ».
Et si vous étiez accompagné par un coach de vie ?

A la différence d’autres types d’accompagnement comme la psychothérapie, le training ou le consulting, le coaching se distingue par son positionnement. Le coach se situe aux côtés du coaché, dans une position d’égalité, et centre son action sur les valeurs, les besoins et les ressources de la personne. En aucun cas, il ne s’agit d’imposer ou d’apporter une solution « clé-en-main » à un problème. Au contraire, le coaching repose sur le principe que chacun dispose des ressources nécessaires pour atteindre ses objectifs et vise à donner au coaché la pleine conscience de ses capacités et à le rendre autonome.

Le coaching de vie permet à l’individu de mieux se connaître, d’être en accord avec ses valeurs, de générer des comportements adaptés à la réalisation de ses objectifs et d’aborder le futur de façon positive.
Les problématiques plus spécifiques que le coach de vie peut aider à traiter sont diverses et très nombreuses : phobies, relations sociales, gestion du stress, prises de décision, confiance et affirmation de soi, résistance au changement… 
Le coaching de vie est également indiqué pour aider les individus à bien vivre une phase de transition liée à un divorce, un licenciement, des problèmes financiers, de santé, etc.
Les coachs maîtrisent de nombreuses techniques pour accompagner leurs clients : mener un entretien, gérer la relation, l’écoute active, adopter une bonne attitude…
Les techniques de communication telles que la Communication Non Violente (CNV) ou l’Analyse Transactionnelle (AT) sont aussi essentielles. Enfin, ils peuvent utiliser des techniques d’intervention pour que les coachés atteignent leurs objectifs telles que la PNL, programmation neuro linguistique.

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Communication NonViolente (CNV)

Développée aux Etats-Unis dans les années 60, par le docteur Marshall Rosenberg, la Communication NonViolente s’inspire fortement des travaux de Carl Rogers (1902-1987), dont il a été l’élève. Il a eu l’occasion de tester l’efficacité de sa méthode, auprès de diverses communautés américaines (écoles, institutions publiques) en prise aux conflits raciaux et socio-économiques de l’époque.

Il s’agit d’un outil de communication, principalement verbal, qui vise à transformer les conflits en de simples dialogues.
Ce n’est pas une thérapie, toutefois elle peut avoir des retombées positives en termes de connaissance de soi.
Elle est aussi appelée communication empathique ou communication bienveillante.
Le principe est d’abord d’aller au delà des jugements que nous avons sur nous, en écoutant nos besoins avec l’autoempathie.
Ensuite, nous pourrons écouter les autres avec empathie, en essayant de ne pas les juger et avoir une conversation sereine.

On peut tout dire, si on écoute ses besoins et ceux des autres, sans jugement, ni agressivité.

1) Toute situation doit pouvoir être Observée sans juger les autres.
2) Chacun doit apprendre à exprimer ses propres Sentiments.
3) à exprimer ses Besoins ;
4) à faire une Demande à l’autre.

Indications :

La CNV peut convenir à toute personne qui veut mieux communiquer avec les autres, avec plus d’authenticité et d’efficacité, dans le cadre de relations personnelles, familiales ou professionnelles.
Les personnes qui se laissent facilement submerger par leurs émotions (culpabilité, colère, jugement) peuvent en tirer des bénéfices immédiats.
C’est notamment un outil très puissant pour désamorcer les conflits entre différentes générations ou dans les couples.
Certains professionnels de la santé, de l’éducation, des dirigeants, utilisent la CNV pour faciliter les relations au sein de leur entreprise ou prévenir des conflits.

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Analyse Transactionnelle

Historique :

Animé par le désir de rendre la psychologie accessible à un large public, le psychiatre américain Eric Berne, développa en 1956 sa propre conception de l’analyse.
Berne propose une théorie originale de la personnalité et de la communication. Ce médecin a pour objectif principal la guérison rapide des patients. C’est dans cette perspective qu’il centre ses recherches pour rendre le traitement plus opérationnel. Par ailleurs, il met l’accent sur la responsabilité de la personne, à la fois dans la mise en place de son histoire et dans sa capacité à changer. L’analyse transactionnelle rencontra rapidement un vif succès outre-Atlantique et fut introduite en France en 1975 par la création de l’Institut Français d’Analyse Transactionnelle.

Principe :

Basée sur une certaine conception de la relation et de la communication, l’analyse transactionnelle (AT) examine nos échanges avec notre entourage selon les trois facettes de notre personnalité : l’enfant, le parent ou l’adulte. Ces trois états du “moi” coexistent chez une personne et s’extériorisent indépendamment selon les moments et les circonstances.

L’état Enfant représente la vie ressentie, le lieu de nos motivations et de nos sensations. L’état Parent se manifeste par des comportements critiques, des jugements moraux et des attitudes protectrices. L’Adulte s’informe, évalue les situations, analyse et décide. Grâce à une appréciation objective de la réalité, il a un comportement rationnel et opératoire.

L’AT consiste à diagnostiquer quel état du “moi” intervient chez les personnes en présence, dans une relation. Son but est de permettre à l’individu d’utiliser ses différents aspects de manière appropriée afin de retrouver son autonomie. Cette grille de lecture de nos comportements, donne une meilleure compréhension de soi et améliore la communication avec autrui, tant dans le cadre personnel que professionnel.

Indications :

L’analyse transactionnelle est recommandée pour toutes les personnes qui rencontrent des difficultés relationnelles : timidité, agressivité, susceptibilité, manque d’affirmation de soi… Utilisée en thérapie de couple, elle permet d’analyser les échanges entre les conjoints, et de mettre à jour les différents jeux de pouvoir. Les entreprises peuvent également y avoir recours dans le cadre de formation axées sur la communication (vente, négociation, management d’équipe ou encore conduite de réunion).

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